lundi, avril 23, 2007

OUPS

Un graffiti londonien de l'artiste Bransky a malencontreusement été effacé du mur qu'il ornait, par des employés municipaux. Ces derniers ont suivi les consignes de nettoyage des graffitis données par la ville de Londres. Ils n'ont pas été en mesure de distinguer l'oeuvre de Bransky
d'un simple " Fuck the Queen" ou encore d'un minimaliste "Never Mind the Bollocks"

Bransky aurait du faire son graffiti sur un éléphant,
comme ça les employés municipaux auraient peut-être eu de la difficulté à l'attraper pour le nettoyer!

jeudi, avril 12, 2007

Cooke -Sasseville: Demis-dieux; Il en faut bien deux!!


Un samedi après-midi ensoleillé et plein de promesses, j'invite chez moi Jean-François Cooke et Pierre Sasseville. Le but de cette invitation, outre rigoler, refaire le monde et déguster quelques bonnes bouteilles; je veux savoir pourquoi des artistes choisissent de travailler en duo.

Les deux compères se pointent, première bouteille, la discussion s'oriente d'emblée sur un de leurs prochains projets: un jeûne prévu pour l'été qui finira bien par arriver un jour. Jeûner pour amener son esprit ailleurs, pour illuminer la vision intérieure, pour transformer le regard, la lumière, la conscience. Donc, on fait un bout de conversation sur ce projet. Le temps file, les bouteilles se vident comme par magie.

Puis nous abordons la question qui m'intéresse: Pourquoi travailler à deux? En effet, à mes yeux le traval de création est une entreprise solitaire, parfois même antisociale et je m'interroge depuis un certain temps sur les motifs qui amènent la bibitte créative et joindre ses forces à une ou plusieurs autres bibittes de même acabit. Comme trio il y a BGL par exemple.

Cooke-Sasseville m'expliquent que cette fusion des cerveaux, cette union des créativités, n'est possible que du fait que leur travail est essentiellement conceptuel. Il serait en effet difficile pour deux peintres ou deux sculpteurs de travailler en duo pour la réalisation d'oeuvres.

Concevoir l'art à deux; les idées qui se lancent des défis, les flashs qui s'entrechoquent les piste suivies, puis abandonnées et reprises encore, tout un territoire imaginaire arpenté et déffriché. À deux ça va plus vite, à deux le territoire est plus habité. Jean-François Cooke et Pierre Sasseville se connaissent depuis le BAC et ils considèrent que leur travail commun est plus fort que leur travail individuel respectif. Comme un couple heureux, qui considère que la somme des deux est plus forte que chacune des parties.
Cooke-Sasseville comme dans: jeu de mots et légèreté, douce ironie et propos mordants. Un mirroir qui se reflète dans un autre, l'image inédite ainsi créée qui se répète à l'infini.

Cooke-Sasseville....

Et puis quand on est demi-dieu et qu'on travaille à deux; ça en fait tout un!

mercredi, avril 04, 2007

Ceci n'est pas un billet



Chers lecteurs et lecteuses, je vous néglige un peu depuis quelques jours, mais sachez que c'est pour une bonne cause. Je tente effectivement d'écrire un billet sur le duo d'artistes bien connus
Cooke-Sasseville: Demis-dieux, il en faut bien deux!

En effet, j'ai réalisé une entrevue avec ces deux géants de la création et depuis plusieurs jours je tente de tirer un propos un tant soit peu cohérent de la bande audio de cette mémorable entrevue. Il faut dire que ce fut un moment très arrosé, heu..., je veux dire intense. Donc lorsque mon travail de décryptyage sera terminé, je serai sûrement en mesure de vous pondre quelques lignes vachement inspirées




Les deux photos illustrent des pièces de Cooke Sasseville- elles sont tirées de l'exposition LE PLUS BEAU JOUR DE MA VIE, Galerie l'Oeil de poisson, Québec.